Ma femme et moi travaillons tout les deux à plein temps, comme nous habitons loin de nos lieu de travail, les journées sont longues et les travaux ménagés en prennent un coup. Nous avons donc engagé une femme d’ouvrage (assez moche…) et nous faisons repasser le linge par une jeune fille habitant à quelques kilomètres.

La première fois que j’ai été lui porter du linge, elle m’a ouvert la porte en chemise de nuit, mais seulement le haut. Assez longue pour cacher un endroit indécent mais assez courte pour laisser deviner ses longues jambes. Brune, 1 mètre 70, un peu plus de 20 ans, les yeux bruns foncés, quelques taches de rousseur sur le visage et les bras, un cambrure parfaite, un petit cul semblant merveilleusement ferme, j’ai du tirer une drôle de tête en la voyant la première fois sur le pas de sa porte !

Bref, j’y suis retourner plusieurs fois et j’ai remarqué que sa tenue du premier jour n’était due au hasard mais que cette fille aimait se vêtir de façon à dévoiler ce que la nature lui avait généreusement accordé. Mes visites chez elle, toujours très courte, se résumait à déposer ou à reprendre le linge et à la payer, bonjour, au revoir sans plus.

Un soir d’été, particulièrement lourd, ma femme me demande d’aller rechercher le linge, je pars en grognant quelque peu, dans cette moiteur sentant l’orage proche. Arriver chez elle (elle s’appelle Géraldine), je sonne et elle vient m’ouvrir. Je m’attendais à la trouver dans une tenue légère mais pas à ce point ! Une petite brassière lui cachait la poitrine et un petit maillot couvrait le bas, ses longues jambes nues, interminables me troublèrent autant que ses seins que l’on devinaient largement sous cette mince protection.

Je la saluait et elle me montra le linge, prêt à être emporté. Un coup de vent referma la porte derrière moi et elle sursauta, perdis l’équilibre et atterri dans mes bras. Geste prémédité ? Je pense bien que oui. Nos visages si proches, le temps lourd, son parfum, nous nous sommes embrassés goulûment. Elle était fraîche et docile, sa langue dansant son ballet autour de la mienne. Mes mains glissèrent vers sa poitrine, dans mon short, mon sexe s’était immédiatement dressé, elle y posa une main douce et entreprit un massage régulier. Nous sommes restés comme cela quelques instant puis nous avons roulé à terre, je me retrouvais sur le dos, elle se mit à genoux à côté de moi et entrepris de baisser mon short, rapidement ma bitte dressée apparu et elle commença à me caresser plus sérieusement.

Je la regardais, superbe, sa brassière révélant déjà un sein, ses yeux posés sur mon sexe , sa main droite montant et descendant lentement, caressent de son pouce mon gland déjà humide. J’écartait les jambes et elle commença à me malaxer les couilles de sa main gauche. Elle laissa couler un filet de salive sur le bout de mon gland et continua, ainsi lubrifiée, sa main semblait encore plus douce, comme si un vagin serré me chevauchait. Elle me dit qu’elle avait rarement vu un membre aussi imposant, que cela l’excitait au plus haut point.

Elle me branla quelques minutes puis commença à se déshabiller. Une fois nue, elle se coucha à côté de moi, nous étions au milieu de son hall d’entrée, a quelques pas de la porte. Elle me dit, tout en continuant à me caresser le sexe, que son copain revenait vers 20 heures et qu’il fallait donc nous dépêcher car il était toujours précis, il était 19h40.

Immédiatement, elle glissa le long de mon torse et se plaça entre mes jambes, elle commença à me lécher les couilles doucement, les prenant dans sa bouche, les agaçant avec sa langue, tout en me branlant puis, en me regardant dans les yeux elle enfourna ma bite dans sa bouche, elle commença un rapide va-et-vient, sa langue jouant avec mon gland, elle m’avalait si profondément que son nez touchait mon ventre. Elle mit un doigt dans mon anus et commença à me caresser. J’étais au paradis. Elle releva la tête un court instant, laissant un filet de salive relié sa bouche à mon gland, puis remonta ce fils dans un bruit de sucions incroyablement excitant. Elle pris mon gland entre son pouce et son indexe puis lentement me caressa de haut en bas, léchant parfois d’un rapide coup de langue le trou.

19h46, l’orage éclata subitement, le tonnerre grondait et l’électricité se coupa, nos peaux semblaient électrisée, le frottement de sa main contre ma colonne s’arrêta. Elle vient se placer sur moi, à croupi au dessus de mon sexe posé contre mon ventre, elle le pris dans la main droite et l’enfonça au fond dans son vagin plein de miel en un seul mouvement, elle commença à gémir et s’agita frénétiquement sur mon gros membre près à exploser. Elle commençait à jouir, je décidait alors de prendre les choses en main, je la retournais et commençais à la bourrer avec violence, mes couilles cognaient contre son cul merveilleux, elle jouis rapidement, s’agrippant à mon dos, me griffant , me mordant la lèvre. Elle se détendis en soupirant